5/ la fureur de peindre / Avec les chevaux : au fouet de la couleur !

 De Géricault , Delacroix avait hérité la fascination des chevaux.

Il les considérait comme des intermédiaires poétiques entre la nature et l'homme.

Ces chevaux devenaient les emblèmes les plus représentatifs de la peinture romantique.

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1860- les chevaux arabes se battent dans l'écurie

C'est la violence du combat que Delacroix met en scène ...

Il accentue la puissance et l'énergie des chevaux par de forts contrastes d'ombre et de lumière.

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1854- la chasse au tigre

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1856- la chasse au lion

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